Quand on évoquera la planète terre, ce sera toujours pour parler de guerre, de la marine ou de l'armée de l'air, de la sale mine que l'on déterre, de la carabine qu'on préfère, en cabine, je baratine pas, j'ai la rime qui n'est pas légère, un trip à la Stéphane Eicher, les nouvelles sont mauvaises d'où qu'elles viennent, d'ici au Loir et Cher, de l'Italie à Capesterre, de Miami a l'eyre Square, juste envie de frapper la caisse claire, de rappeler que l'atmosphère est pesante, ou qu'il y a des sphères malfaisantes, et que l'adversaire ne plaisante pas, envoie des stères, du bois trop balaize frère, Lucifer ou satan taffe à plein temps, et reste une altesse fière, c'est pas cette musique la que t'espères, mais tout ce qui est zumba, zouk et salsa, muscles et gros bras, tomberont à plat comme un sale dessert, restons léger comme Malteser, mais de vous à moi, je préfère lutter contre la dure loi de nature auquel l'animal se réfère... Parler de la gravité des choses, plaider la légitimité d'une cause, déprécier de laisser l'humanité sur pause, tête baissée, peut être blessé, mais c'est comme ça qu'on pose x2