Étrange nature, écriture mature sous les ratures, inspirée par l'ossature du Beat, pourvu que ça dure, je débite pour que ce soit pur, terrible, et que ce soit dur, pénible, pour les ordures débiles, car je sature de leur styles et leurs allures, pas de modestie, j'ai pris de la stature face aux mauvais esprits, j'écris des mesures, j'en ai pris des sur mesures, en premier, ves-qui les gens peu sûrs, et en deuxième, se guérir de ses blessures, en troisième, faire le taf comme un graff sur un vieux mur, on dégrade, on est crades, on dégrafe toutes les armatures, mise à nu des mots, fais gaffe, j'augmente la température et le son au niveau des baffes, dans cette nouvelle aventure, pas de signature d'autographes, de photographes qui capturent mes Nikes, mes polos Ralph, ni de chorégraphie pointue, t'as juste des gros paragraphes qui baffent des rythmiques tordues, pour tous mes beaufs à la CAF et mes cas graves au chomdu... Et pour cette étrange nature qu'est la nature humaine, y a pas de mésanges, d'azur dans ma peinture urbaine, y a pas de vrais anges dans le sud de ma zone parisienne, y a que des échanges d'insultes et des mélanges d'incultes (x2)

Rentrée de septembre, on essaye de prendre les choses en main, bien assez de glande, est passé le temps de faire des câlins, de rêvasser quand, levé 7h30, je sors le calepin pour placer de grandes phases et jets d'encre, d'habitude, je fais le cancre et ça me va bien, cette fois ci, gamin, je donne l'exemple, de janvier à décembre, je représente les anciens, ou naissants, tous ceux qui, jusqu'à présent, sont enclins à perpétuer l'essence, la présence des gens sains, je représente en conséquence un pirate, une princesse, un petit rap et plein de 16, un miracle, de simples gestes, un mirage dans le paysage musical, une adresse diabolique en fusillade lyricale, une madness à l'intérieur d'un type calme, l'animal Ron Artest croisé avec Madiba, un petit gramme de finesse dans ce monde aussi amical qu'une guitare dans la pièce jouant du Metallica, tranquille, pendant ta sieste... Tu sais déjà ce que nous sommes, des femmes ou des hommes (représente) des personnes, mauvaises ou bonnes, des rois sans couronnes (représente), des reines et princesses toutes connes, et altesses bouffonnes (représente), c'est l'étrange nature,et le mélange impur que l'on nous donne (x2). Maintenant tu sais qui je suis et qui je représente... Dis moi qui tu représenterais si l'occasion se présentait, faisons l'action désormais, t'as des convictions, sors les, moi j'ai pris position, je représente pas la fiction, portrait d'un homme en perdition, dans les conditions de Lizzy Corday, même si t'es pas encore prêt, je représente par de forts traits, les absents et les forfaits, mais pas d'accent new yorkais, car je représente la France, son ambiance, ou tout à l'air fort laid, de Lille, Valence a Morlay, Neuilly Plaisance à Orsay, je représente en conséquence, loin des vacances et sorbets, l'être humain dans son errance, l'esprit mort dans un corps frais, le terrien dans sa démence, l'exprime en métaphores vraies, en rimes que j'élabore mais, en les smashant comme Guy Forget, je représente toute la déchéance immense, on dit qu'il dormait, mais le diable est plus que présent quand j'y pense, dans de jolis corsets, et tant d'éléments de notre existence ainsi, je t'informais que je représente le bien comme le mal, comme tout homme imparfait

Quand on évoquera la planète terre, ce sera toujours pour parler de guerre, de la marine ou de l'armée de l'air, de la sale mine que l'on déterre, de la carabine qu'on préfère, en cabine, je baratine pas, j'ai la rime qui n'est pas légère, un trip à la Stéphane Eicher, les nouvelles sont mauvaises d'où qu'elles viennent, d'ici au Loir et Cher, de l'Italie à Capesterre, de Miami a l'eyre Square, juste envie de frapper la caisse claire, de rappeler que l'atmosphère est pesante, ou qu'il y a des sphères malfaisantes, et que l'adversaire ne plaisante pas, envoie des stères, du bois trop balaize frère, Lucifer ou satan taffe à plein temps, et reste une altesse fière, c'est pas cette musique la que t'espères, mais tout ce qui est zumba, zouk et salsa, muscles et gros bras, tomberont à plat comme un sale dessert, restons léger comme Malteser, mais de vous à moi, je préfère lutter contre la dure loi de nature auquel l'animal se réfère... Parler de la gravité des choses, plaider la légitimité d'une cause, déprécier de laisser l'humanité sur pause, tête baissée, peut être blessé, mais c'est comme ça qu'on pose x2

Quand on évoquera la planète bleue, on ne pourra pas que parler de beuh, des hippies et gens paresseux dès midi qu'en ont plein les yeux, y a plus rien d'écologique dans nos logiques et regarde les cieux, y a que des fumées toxiques, vu que c'est nocif, ça sera rare d'être vieux, c'est mal et ça sera jamais mieux, c'est sale dans la plupart des lieux, normal que le trois quart de mes vœux s'enflamme sans un départ de feu, Panam, son macadam odieux, Gotham City, Arkham, banlieue, canal, vieil Hopital, Zone 2, banal d'avoir la dalle, le creux, quand on est pas invité à table, qu'on reste tard au pieux, on ne fait que retarder l'inévitable, l'iso totale mon vieux, on gaspille une vie inestimable à être grave dans le jeu, les mecs bedavent des savs entre eux, même les plus braves les savent dangereux, obligé de rester terre à terre parce que c'est ca l'enjeu, les types me disent de lâcher l'affaire, que je sois moins soucieux, quand mobb deep disait vivre en enfer, je trouvais pas ça curieux, je suis entre le bien et le mal mais c'est clair que c'est un sale milieu, c'est pour ça que je me permet de... Parler de la gravité des choses, vanter la qualité de la prose, ainsi que l’acidité de la dose ou la facilité de la pose, magnifique et pacifique est la cause, y a pas de passivité car la clique fait pas de pause

Enfant béni du boom bap, enfant chéri du bon rap, quand la qualité vous frappe, et que la vérité vous claque aux oreilles comme un soûl clap, vous voulez être toujours un cool cat, explorer, dénicher, épuiser tout le back, étudiant comme à Tolbiac, je suis devenu radical et all black dans ma musique et peu sensible à vos tracks, à vos critiques et vos remarques, à vos manières typiques de monarques, et cette dernière rythmique me dit qu'elle vous nargue, et que mon éthique vous garde toujours à distance, dans mes souvenirs quand j'y pense, y avait pas trop de rigolade, de rire ou sourire colgate, mais des gars toujours prêts à combattre, en opposition comme Bart, sans position, disposition confortable, sans une plateforme ou un support fiable, et sans les réseaux sociaux insupportables, pas de musique sur les portables, mais que de la bonne cuisine sur nos tables, je suis nostalgique de la soul food et old trad...

Aujourd'hui, tout à changé, et rien doit nous déranger, car on peux tout mélanger et lâcher des étrangetés, mode fin du monde enclenché, à chaque secondes engrangées, on oublie qu'il y a des bombes qui tombent et la mappemonde en danger, alors rappons pour manger, pour les billets en planche et pour les bitches et leur point G, pour les riches et gens branchés, c'est plus la guerre des tranchées, comme naguère ou il n'y avait guère des étrangers dans notre culture, mais l'écriture a flanché, tout est plus débile et trop puéril, un style à ranger parmi les produits des plus juvéniles, et sacs à langer... fais la thune, fais la maille, joue la caille (prends la monnaie), fais la pute dans un tuto tie and dye (prends la monnaie) fais un tube pour une pub de champagne (prends la monnaie), soit pas dupe, c'est Belzébuth qui gagne et (prends la monnaie) (x2). Aujourd'hui, plus rien n'est pareil, on est déjà zappé la vieille école, et tapé dans la teille d'alcool pour oublier la veille, et on ne fait que parler d'oseille et drogues, quand Nas parlait de sommeil et de mort, et d'histoires personnelles très fortes pour bercer nos oreilles, nous on ne fait que mieux résonner le désordre, donner des faux conseils aux autres, et l'hypnose va tourner non stop dans tous vos appareils, on t'émerveille comme au Futuroscope, mais saches que la concurrence floppe, aussi qu'on ne se fie plus qu'au score atteint en fin de semaine, on ne se donne plus la peine tant sur la forme que sur le fond, quand on performe, ça donne des cheveux de licorne et des sons Gucci gang, heroes contre villains, hypnose contre migraine fais la thune, fais la maille, joue la caille (prends la monnaie), fais la pute dans un tuto tie and dye (prends la monnaie) fais un tube pour une pub de champagne (prends la monnaie), soit pas dupe, c'est Belzébuth qui gagne et (prends la monnaie) (x2).

Dans mes rêves, toutes les zik sont bonnes, à leur maximum, a leur pic, summum de leur art, mais en vrai, tous les types s'en cognent, et les chicks sont connes, donc au microphone, c'est la foire, la magie de l'esprit transforme la bêtise sans bornes en délice hors norme et à croire, que la nuit, il existe encore plein de pistes en or ou on glisse à tort vers l'espoir, dans mes rêves, toutes les villes s'endorment, sans un bruit de Klaxon, dans un immense sommeil de loir, mais en vrai, c'est le style Bronson, et l'hostile grosse pomme, Gotham City en somme, et le soir, dans la plupart des villes d'Essonne, tous les cris résonnent, c'est celui des hommes, pour s'asseoir sur leurs rêves, faut qu'ils speed, consomment, faut que le stick assomme, faut qu'ils vident le rhum dans un square, dans mes rêves, chacun vit sans code, sans crédit, sans solde, sans devise ni somme de retard, mais en vrai, on est plus conforme à la muse qu'on se donne, soit la plus grosse com de gen-ar, si Belzébuth est plus qu'en forme, et que plus personne s'en offusque, et veut plus s'émouvoir, c'est qu'il use de sa ruse et a plus de pouvoir, je refuse de le croire, mais j'ai juste en mémoire... Y a des choses positives Dans mes cauchemars, y a des choses négatives dans mes rêves, j'ai des sons qui arrivent pour les couche tard et les lève tot, dont la nuit fut brève, y a des choses positives Dans mes cauchemars, y a des choses négatives dans mes rêves, je navigue entre nuit blanche et peur noire, je fatigue parce que cette vie me crève Est ce que c'est mon sommeil qui est paradoxal, ou bien est ce la réalité qui est paranormale, est ce que je rêve d'une reine ou de Clara Morgane, est ce que l'âme est humaine et se compare aux organes, est ce que l'amour suprême va plus loin que Coltrane, et la source des problèmes commence-t-elle dans nos crânes, est ce qu'on marche ou on crève, on cauchemarde ou on rêve, on s'abaisse ou s'élève à chaque fois qu'on dort mal, la vérité énerve, elle n'est pas confortable, va vérifier les brèves, nouvelles dans ton portable, pas de celles qu'on achève, qu'on abrège ou formate, pas de celles qu'on achète, puis qu'on jette et fuck dat! J'ai des cauchemars brefs et des rêves de longue date, pour mes couche tard déf, et mes lèves tôt qu'ont le MAC, se réveiller sans sève est le pire des come back, comme de rêver sans cesse avec un sourire colgate Y a des choses positives Dans mes cauchemars, y a des choses négatives dans mes rêves, j'ai des sons qui arrivent pour les couche tard et les lève tot, dont la nuit fut brève, y a des choses positives Dans mes cauchemars, y a des choses négatives dans mes rêves, je navigue entre nuit blanche et peur noire, je fatigue parce que cette vie me crève

Puisque la nuit est belle, puisque la vie est telle, puisque l'ennui révèle nos plus mauvais côtés, ok, puisque l'avenir est frêle, puisque y a pluie et grêle, puisqu'il y a l'envie réelle, ce soir on va pouvoir danser (x2). Viens ma fille, je t'emmène danser, je t'invite à t'ambiancer, très vite influencée par les lumières de la ville quand tu chill dans tes pensées, ouais ce soir, t'es ma divine fiancée, dans ce film romancé là où la série noire et sales histoires n'ont pas encore commencé, avant la soirée foire, mais tu vas voir comment c'est assez vite, les flics sont toujours là pour l'embarrasser, casser le trip, a 3 ou 4 officiers pour contrôler qu'un seul type, à peine le contrôle passé qu'on doit affronter le trafic, au feu rouge, évite de baisser ta vitre quand ca se frite a quelques rues plus loin, histoire que plus rien ne soit magique, et que tu regardes du coin de l'œil ce cirque, c'est classique, le nombres de soirées foirees que les enfoires fabriquent, ou tout devient tragique de manière systématique, et y a plus moyen de faire kiffer ta chick, la j'abdique sur le nombre de soirées foirees ou j'ai frôlé le pathétique, je maîtrise pas la suite et quand la sista réplique, je lui demande de s'imaginer, bien assise, carré vip et d'imager notre arrivée dans le site charme et chic, puis je lui demande d'imaginer qu'elle est prise par Élite, et qu'elle défile, tranquille, à cette zik... La suite ne fut pas meilleure, j'ai tourné plus d'une demi heure juste pour trouver une place, alors que la masse est de bonne humeur, ma miss est restée de glace, aussi, elle a cadenassé son cœur, donc y a plus trop d'espace pour tester les phases de player, si je suis, en surface, plutôt calme, j'ai quand même une frayeur quand je vois la populace qui s'amasse juste en face des videurs, baggy et Adidas, avec toute la poisse d'un looser et l'énergie d'une garce plutôt lasse, qui efface la chaleur, Paris c'est pas Vegas, et y a pas de palace dans le secteur, l'ami, je n'ai pas de liasse ni de strass quand je passe au détecteur, si je suis une menace d'après les avis des inspecteurs, le physio cède la place, je remercie la grâce du Seigneur, mais il laisse que les tass' dont la mienne, se mettre à l'intérieur, et elle se débarrasse de moi dans un sourire moqueur, en me lançant deux trois phrases un peu nases, mais d'où vient l'erreur, soirée foiree de base pour le pire et pas le meilleur, pourquoi je me décarcasse? Elle avait juste besoin d'un chauffeur, elle trouvera un rapace pour me remplacer, passer des heures, ça ressemble A une farce, c'est ça de jouer les lovers, soirée foiree connasse, mais je viendrais te chercher tout à l'heure...

Je rentre en boîte, accompagné d'une autre, à mon poignet une montre pour regarder, et surveiller le décompte, la nuit tombe, minuit passée d'a peine quelques secondes, y a du monde, ça sera parfait, en plus y a des points d'ombres, lumières tamisées, je t'ai laissé t'amuser dans un coin sombre, je t'ai vu grave tiser, et puis sympathiser sans que tu te rendes compte, mais arriva ce qui devait arriver après une assez longue coupure d'électricité, organisée à la James Bond, kidnapping, tu te retrouves assez vite sur le parking, tu voulais être la reine, mais tu ne savais même pas qui sera le King, y a une voiture qui se radine, mon crew d'ordures qui s'aligne, une peinture sur ta teinture et je me prend déjà pour Keith Harrings, on va danser...La pluie sur ton maquillage, biatch, c'est ça qu'on aime, les changement sur ton visage qui rage, c'est ca qu'on aime, tes pleurs ou tes cris à chaque virage, c'est ca qu'on aime, apprend à connaître le King avant de vouloir être la reine (x2)

T'as fini dans le coffre de la berline, t'as voulu être la plus belle, mais t'es aussi laide que perfide, et ça me fait un super film, attend un peu que ca se termine, tu va finir par souffrir comme une vermine, je vais finir par sourire comme Muriel Hermine et je détermine l'endroit où je vais d'abandonner sans faire mine de penser à tes belles lignes, imaginer ton twerking, car t'es la plus degueulasse des limaces comme Donald Sterling, tu vas bouger ton piercing, jusqu'à ce qu'on puisse te faire signe, tu vas finir au milieu d'un champ pour moins faire la mesquine, et rabaisser ton estime, sapée comme une clandestine, t'es tombée sur la mauvaise soirée et sur la mauvaise team, voila une bien folle destinée pour t'apprendre la modestie

Je veux du rap, et pas de vivaldi, des vrais sapes et pas de Rivaldi, plus une asiate à la Vivian Lee, et si je t’attaque, mais qu’est-ce qui m’a pris? C’est juste que t’es wack, et depuis la nuit des temps donc je frappe à la Scilacci, t’es juste un macaque à la Big Ali, bon qu’à faire les backs ceux de Kid Capri, moi j’aime pas le black a la Steve Harvey, à la Kevin Hart celui qui salit, notre image de marque avec cris, sales bruits pour faire le spectacle vendredi, samedi, c’est par la racine que les pissenlits tu vas les bouffer, des mc’s sans vie seront retrouvés dans les petites amphis, des posses troublés quand les types s’enfuient, que du ghost art et des choses dark, pas de fausses blagues ou d’atroces gag quand l’équipe s’ennuie, pas de mot swag, pas de pose mag, pas de rose fag’ que des Oswald, pas de Fish Mooney, que du ghost art et des choses dark, pas de fausses blagues ou d’atroces gag quand l’équipe s’ennuie, pas de mot swag, pas de pose mag, pas de rose fag’ que des Oswald, pas de Fish Mooney, rêves et cauchemars

J'ai rêve d'un hipster énervant, d'un mister "je suis dans le vent" avec les codes et la barbe à la mode et une vraie tête d'allemand, un jean véritablement trop slim, des jambes fines également, une dégaine mi délinquant mi victime et le style du moment, j'ai rêvé de le raser sauvagement, mettre ses vêtements au détergent, lui faire dépenser son argent dans des survêtements jaune pétant, lui faire écrire des poèmes sur sa vie de bohème pendant le printemps, les faire rapper par Black M pour le midem et autre événements, j'ai rêvé d'être le Freddy moderne, le croque mitaine des enfants pour le bobo qui votera modem pour notre nouveau président, raye son logo Polo Ralph Lauren sur sa laine de bon client, change son jean retroussé en mitaine pour une dizaine de gitans, j'ai des rêves étranges ou tout se mélange, alors c'est pas évident, mais faut pas qu'on me dérange, j'étais au milieu des anges à l'instant, j'ai tué Ayem, en étant déguisé en Kym Kardashian, Nabilla sera la prochaine, et je m'approche d'elle en souriant...

Que des cauchemars et des choses dark, ce dont rêvent les gosses tard, c'est du Ghost art.(x4) Je continue mon rêve et j'observe Nabilla qui crève de dix mille façons, la cette fois ci, elle avale une fève, y a un tas de gens qui se lèvent, et qui veulent prendre la relève, la remplacer dans sa célébrité, entre eux, ils s'énervent, ça finit en bagarre de starlettes mais j'arrête toute la fête en mode sniper et fusil à lunettes, je craque une allumette sur leur tête de tapette, surtout ceux qui s'apprêtent à atteindre la stargate, j'appuie sur la gâchette, découpe à la machette les blondes et leurs sales mecs, les bombes et leur smile fake, c'est bon si on s'accepte mais ça devient vraiment con, et tout le monde peut l'admettre, quand les garçons se la pètent, je fais des mauvais rêves sur cette génération mal faite, fédération d'athlètes, j'en suis le principal traître, plus ton cerveau se rétrécit, plus t'apprécies le paraître, plus les sociaux réseaux grandissent, plus tu me vois disparaître... Dans des cauchemars et des mauvais rêves, que de choses dark, et des stories brèves, c'est du ghost art ou j'ai levé le glaive pour tuer toutes vos stars ou pseudos célèbres (x2) Que des cauchemars et des choses dark, ce dont rêvent les gosses tard, c'est du Ghost art.(x4)

Moi je pose quand c'est pas la fête dans les têtes, quand tout n'est pas rose et qu'on explose des canettes jusqu'à la cirrhose, ou que l'overdose nous arrête, les paupières mi closes, quand on dispose d'Internet, on subit l'hypnose, y a plus de mille causes à connaître, mais la gravité des choses serait de moins en moins nette, maquiller la prose, une imposture malhonnête, je vais doubler la dose, étrange nature, represent, paraît que ça s'arrose quand on danse avec le diable, quand on l'invite à sa table, quand on partage son assiette, ça sent la névrose si on a baissé les armes, si on apprécie le drame qui se trame derrière nos fenêtres, tout ce qu'on nous impose, c'est de mourir comme de naître, alors ça suppose qu'entre les deux, il faut rester maître, jour et nuit s'opposent, mais la nuit, l'esprit est vedette, tout ce qu'il nous propose, c'est la métamorphose de nos êtres, tout ce qu'on nous impose, c'est de découvrir les facettes, sans aucune osmose de la vie mais t'as saisi le concept, jour et nuit s'opposent, mais la nuit l'esprit est vedette, tout ce qu'il nous propose, c'est la métamorphose de nos êtres, que du Ghost art et des choses dark au manette, mais tu constates que l'on fonce grave, qu'on accepte, rêves et cauchemars, c'est vrai qu'on se marre sous la couette, planquez vos stars et toutes vos strass et paillettes (x2) Plongé dans un profond sommeil, dans un tourbillon personnel, dans le siphon ou je verse la teille, dans l'œil du cyclone, c'est cela même