Moi je pose quand c'est pas la fête dans les têtes, quand tout n'est pas rose et qu'on explose des canettes jusqu'à la cirrhose, ou que l'overdose nous arrête, les paupières mi closes, quand on dispose d'Internet, on subit l'hypnose, y a plus de mille causes à connaître, mais la gravité des choses serait de moins en moins nette, maquiller la prose, une imposture malhonnête, je vais doubler la dose, étrange nature, represent, paraît que ça s'arrose quand on danse avec le diable, quand on l'invite à sa table, quand on partage son assiette, ça sent la névrose si on a baissé les armes, si on apprécie le drame qui se trame derrière nos fenêtres, tout ce qu'on nous impose, c'est de mourir comme de naître, alors ça suppose qu'entre les deux, il faut rester maître, jour et nuit s'opposent, mais la nuit, l'esprit est vedette, tout ce qu'il nous propose, c'est la métamorphose de nos êtres, tout ce qu'on nous impose, c'est de découvrir les facettes, sans aucune osmose de la vie mais t'as saisi le concept, jour et nuit s'opposent, mais la nuit l'esprit est vedette, tout ce qu'il nous propose, c'est la métamorphose de nos êtres, que du Ghost art et des choses dark au manette, mais tu constates que l'on fonce grave, qu'on accepte, rêves et cauchemars, c'est vrai qu'on se marre sous la couette, planquez vos stars et toutes vos strass et paillettes (x2) Plongé dans un profond sommeil, dans un tourbillon personnel, dans le siphon ou je verse la teille, dans l'œil du cyclone, c'est cela même